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16_nguildou.jpg - NGUILDOU Le Genie de la Joie -

 

En AMAZONIE

Les Shuars forment le plus grand groupe ethnique de l’ensemble Jivaro, les anciens réducteurs de têtes, dans une région au pied des Andes appelée Haute-Amazonie. Pacifiés entre 1920 et 1940, ils sont environ 60.000 répartis en plus de 400 villages à l’est de l’Equateur, à la frontière avec le Pérou, dans un territoire autonome grand comme la région PACA. Environ 80 % des Indiens Shuar sont aujourd’hui lié au monde moderne, soit parce qu’ils ont l’électricité, soit parce qu’ils vivent à quelques heures de marche d’une route. Un cinquième (en constante diminution) se trouve isolé en forêt et continue de chasser selon la tradition pour se nourrir, même s’ils ont une école dans leur village et vont à la ville plusieurs fois par an.

Maria WISUI - Chamane SHUARS

Ricardo Tsakimp est l’un des chamans shuar les plus connus d’Amazonie équatorienne. Originaire de la région de Limon, il a vécu en forêt jusqu’à l’âge de 8 ans. Aujourd’hui âgé de 55 ans, il vit à Sucua, la principale ville du territoire shuar. Il est fonctionnaire de la Direction Provinciale de Santé Indigène en charge du recensement des médecines traditionnelles. Il est le fondateur du Conseil des Chamans Shuar. Sa spécialité est le soin énergétique (succion). Il a déjà été invité plusieurs fois en France, Suisse et Canada.

Jean-Patrick Costa arutam@free.fr - Chef de mission humanitaire en Amazonie équatorienne pour Pharmaciens Sans Frontières et la Communauté européenne, il a travaillé aux côtés des Indiens Jivaros de 1992 à 1996, en tant qu'ethno pharmacien. Depuis 1997, il est consultant dans les domaines de la santé et de l’environnement pour diverses ONG françaises et sud-américaines, notamment l’Association des Chamans Shuar et la Direction Nationale de Santé Interculturelle en Equateur.

Spécialiste en ethnobotanique, enseignant en ethnomédecine à l’université et conférencier, il est le président-fondateur d'Arutam, association de soutien aux Peuples Premiers et a écrit plusieurs ouvrages : Indiens Jivaros, histoire d’une mort programmée (Le Rocher, 1997), L’Homme-Nature ou l’alliance avec l’univers (Sang de la Terre, 2000 puis Alphée 2011), Les Chamans, hier et aujourd'hui (Flammarion 2002 puis Alphée 2007), La Chamane du 5ème Age (Alphée 2007) et co-auteur dans Visions, regard sur le chamanisme (Télémaque 2005, Jan Kounen) et L'ethnomédecine (Jouvence 2006, ouvrage collectif). Il est par ailleurs membre de plusieurs comités scientifiques tels que Le Biome, Eco-Réseau, Nature Humaine, Pharmacie et Action Humanitaire.

Voici une liste des programmes auxquels il collabore ou qu’il supervise :

- Zéro Déforestation, reconnaissance des droits fonciers autochtones et protection des forêts

- Selva Viva, un bateau qui sillonne l’Amazonie pour préserver la biodiversité (Pérou/Equateur)

- Développement et commercialisation éthique des produits de la forêt (Pérou/Equateur)

- Formation d’éco-gardiens autochtones (Equateur)

- Agroforesterie et Reforestation (Pérou)

- Refuge animalier et ré-introduction des singes (Equateur)

- Soutien aux médecines traditionnelles et à la santé interculturelle (Equateur)

- Protection des sentiers de pèlerinage huichol (Mexique)

www.arutam.fr et www.zero-deforestation.org

 

Portail des Peuples Premiers : www.peuples.org


Les Asurini du Xingu

Langue : Tupi-Guarani

Population : 170

Localisation : Rio Xingu – état du Para Brésil

Les Asurini du Xingu sont connus de la société brésilienne depuis le XIX siècle. Le contact est plus récent. Il date de 1971 avec la construction de la route Transamazonienne. La rencontre fut brutale pour les Amérindiens avec la propagation de maladies inconnues jusqu’à alors. Les conséquences furent terribles : baise drastique de l’effectif et dépendance à la société nationale.

Au début des années 1980 on ne comptait plus que 52 personnes. La FUNAI mis en place un programme de « récupération » qui évita l’extinction des Asurini.

De nos jours, le dernier recensement a enregistré un peu plus de 170 individus. La population est répartie en deux villages. L’un qui concentre la population la plus importance et la Tavywa, maison communautaire, et un second plus en aval qui ne compte que 25 personnes.

La tavywa est une immense case de paille offrant une architecture sophistiquée et des dimensions impressionnantes (38 m de long pour 10 m de largeur ; hauteur de 12 m). Elle est le cœur de la société asurini. Les morts y sont enterrés avec leurs objets. L’absence de Tavywa dans le village retire toute vitalité culturelle au groupe. Les rituels sont célébrés soit à l’intérieur (au centre de la case) soit sur son seuil.

Serge Guiraud

www.amazonie-indienne.com

 

En PAPOUASIE

Tribu des HULIS au Village de KOBE TUMBIALI

http://papua-new-guinea-fixer.com/fr/videos/

Extrait : Danse avec les Papous et L'exploration inversée

Mundiya Kepaga, chef Papou
Originaire de la tribu Huli des Hautes-Terres de Papouasie-Nouvelle-Guinée, Mundiya Kepanga est un agriculteur actif, drôle et curieux du monde. Véritable aventurier des temps modernes, cet observateur facétieux est le héros, avec son cousin Polobi Palia, du documentaire L’exploration inversée qui retrace les moments les plus marquants de leur incroyable odyssée exploratoire à travers la France. Avec l’aide de son ami Marc Dozier, il a également rédigé sa biographie, Les mémoires d’un Papou en France dans laquelle il raconte sa vie et sa vision de l’Europe.


 
Marc Dozier, photographe français
Photographe pour le magazine Grands Reportages, Marc Dozier consacre l’essentiel de son travail personnel à la Papouasie-Nouvelle-Guinée qu’il explore depuis plus de quinze ans. Ses images ont donné lieu à de nombreuses publications et notamment au livre Papouasie-Nouvelle-Guinée (Éditions Riverboom) qui dresse un portrait contemporain de cette culture millénaire en plein bouleversement. Il invite également régulièrement ses amis papous à explorer notre monde : une incroyable aventure retracée par le livre La tribu des Français (Éditions Dakota) et le documentaire L’Exploration inversée  co-réalisé avec Jean-Marie Barrère (Production Bonne Pioche).

www.marcdozier.com
www.letourdumondedespapous.com

 

En AUSTRALIE

La tribu KUNJIEL BUNDJALUNG  « Les papillons qui Dansent »

Ils appartiennent aux tribus, Minjungbal Ngnarangwal, de la région de Tweed Or, Côte du Queensland, en Australie.

Ils pratiquent leur culture à travers le monde depuis près de 20 ans 

 Dévoués à enseigner et à transmettre la culture Aborigène.  « Nous racontons nos histoires de pêche et de chasse à travers le pays grâce aux  chants, aux danses et par la musique du Didgereedoo … ».

 « Notre motivation est de garder notre culture vivante pour les jeunes et pour les générations à venir … ce que nos ancêtres nous ont transmis nous ne pouvons pas le perdre … ».

GOOMPI UGERABAH, manager / chef de Kunjiel Bundjalung.

Stephen LARCOMBE <bundjalungkunjiel@hotmail.com>

http://www.youtube.com/watch?v=4Y9iZ2Zwjh4

http://www.youtube.com/watch?v=eaCIOc6b0iM

 

Les aborigènes utilisentt du "Pituri"  de l'arbuste hopwoodii Duboisia  provoque des transes pour accéder à la connaissance du temps du rêve.

Leur base est  l'harmonie entre l'homme, la terre et le Temps du Rêve.

Le lien vers le Rêve est renforcé par des cérémonies rituels (Corroborées) … histoires, danses  et chants.

Famille: Solanacées
GENRE: Duboisia
ESPÈCE: hopwoodii
NOMS COMMUNS: pituri Bush, Bedgerie, Poison Camel, Emu Plant, Pitchiri, Poison Bush